Cuprins
- Chapitre I - Les femmes et le pouvoir
- - Les militantes de ce combat
- - L'accès des femmes aux responsabilités locales
- - Les premières femmes députés
- - Les structures ministérielles consacrées
- aux droits des femmes
- - La journée internationale de la femme
- Chapitre II - Les femmes en France aujourd’hui
- - Elles font avancer la France
- - Des pionnières sur tous les fronts
- - Nouveaux talents
- - Les femmes,championnes de l’ éducation
- Conclusion
- Annexes
- Bibliographie
Extras din proiect
Argument
Au regard des progrès accomplis depuis les années 1960,l’amélioration des positions féminines est indéniable.Inauguré en 1944 par le droit de vote accordé aux femmes,poursuivi par le suppression de la tutelle maritale en 1965 ,le mouvement en faveur de l’ égalité juridique entre les sexes s’est accélèré a partir des années 1970.
L’émancipation de la femme m’a toujours passionnée et ce n’est pas par hasard que j’ai choisi ce thème. L’ évolution du statut de la femme tout au long de l’histoire est vraiment impressionnante et j’ai essaye de mettre en évidence dans mon ouvrage les moments plus importants et dans les domaines les plus représentatifs .
Par ce travail ,j’ai eu l’intention de mieux illustrer une chose:l’aprentissage peut adoucir notre existence,savoir c’est pouvoir.En étant conscientes de nos droits,nous pouvons changer non seulement notre vie,mais celle des autres aussi.Je crois que c’est essentiel pour chaque être humain de connaître ses droits car l’inégalité touche n’importe qui : homme ou femme, pauvre ou riche.
Ce sujet a touché mon âme ,premièrement parce que je suis fille et le contenu me vise directement.Puis mon choix a été motivé par l’impact que cette problématique a dans le quotidien.En plus, il m’a déterminé á penser comment le statut de la femme dans la société contemporaine devrait être mis en question.
Chapitre I
Les femmes et le pouvoir
L'idée que les femmes ont les mêmes droits que les hommes est toute récente. Auparavant, comme pour toute discrimination, on s'appuyait sur leurs différences, de nature, de fonction, pour justifier le fait qu'elles étaient privées d'un certain nombre de droits. De plus, on les a le plus souvent considérées comme inférieures, incapables de réflexion, de logique, de maturité. Éternelles mineures, elles devaient se cantonner aux charges du foyer. Sauf lorsqu'elles étaient pauvres : on les exploitait alors autant et même plus que les hommes...
Aujourd'hui, si dans les textes, les femmes ont les mêmes droits que les hommes, dans la réalité bien des inégalités subsistent : elles occupent encore majoritairement les emplois subalternes, donc moins bien payés; elles sont, plus que les hommes, victimes du chômage et de la précarité; et elles sont, encore aujourd'hui, souvent systématiquement écartées du pouvoir, dans les partis politiques, au Parlement, au gouvernement.
En France, le Mouvement de libération des femmes est né de plusieurs courants, de réformistes à radicaux. A la fois héritier du mouvement de mai 1968 et du Women's Lib américain naissant, des luttes pour le droit à la contraception et à l'avortement amorcées par le planning familial, des revendications à l'égalité de tous les droits, moraux, sexuels, juridiques, économiques, symboliques, et de la lutte contre toutes les formes d'oppression et de misogynie. Entre 1967 et 1970, plusieurs groupes de travail se forment. Dans la foulée du mouvement de mai, des réunions non mixtes ont lieu dès octobre 1968, à l'initiative de Monique Wittig et d'Antoinette Fouque. Malgré les polémiques et les dissensions, les différents groupes se retrouvent ponctuellement, jusqu’en 1976, pour des actions communes : pour le droit à l’avortement, contre les violences faites aux femmes.
- Les militantes de ce combat
- Antoinette Fouque
- Monique Wittig
- Christine Delphy
Antoinette Fouque est une militante féministe, psychanalyste, politologue, elle est aussi éditrice, et femme politique française, née à Marseille le 1er octobre 1936. Elle est l'une des fondatrices du Mouvement de libération des femmes en France[4],[5],[6],[7],[8], aux côtés de Monique Wittig et Josiane Chanel, en octobre 1968. Le Mouvement de libération des femmes, baptisé ainsi par les médias à partir de 1970 ne représente qu'une partie du mouvement féministe, ne se veut ni une organisation, ni une association (pas de carte, pas de bureau d'élu, pas de représentante..., mais un lieu de discussions et de prises de parole individuelles de femmes entre elles).
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- Les Droits de la Femme en France.doc