L'Impot Unique En Roumanie

La chute du mur de Berlin a signalé une extrémité à l'empreinte de pas soviétique à travers l'Europe de l'Est et la perspective d'une nouvelle vision et direction pour ces pays a affecté. Si les idées importent, il semble probablement qu'ils seraient les plus évidents suivant un effondrement si soudain d'un système idéologique.

Cet article est une étude de cas qui trace la diffusion de l'impôt unique, et analyse les conditions qui sont nécessaires pour son adoption. La plupart sont concernés les premiers adoptes, et puisque par définition il y a seulement uns, des cas empiriques doivent être comparés aux cas hypothétiques. En fournissant l'histoire effective de l'impôt unique, avec des comptes biographiques des joueurs principaux, une histoire conjecturale peut être formée ainsi pour établir lesquelles des nombreuses variables étaient particulièrement importantes. J'arguerai du fait que la foi - une croyance fondamentale légèrement disjointe de certaine connaissance - était essentielle. En d'autres termes, des idées sont habituellement adoptées pour leur contenu empirique et opérationnel, mais si ceci manque, en raison de la nouveauté de l'idée, ou l'incertitude de l'environnement politique (par exemple en suivant le changement de régime), alors leur contenu normatif peut produire d'une capacité de charge cruciale. L'impôt unique est un exemple fin de ce phénomène.

2. L'adoption de l'impôt unique

L'impôt unique - avec des bons et la privatisation d'école - est un d'un paquet principal de politiques de marché libre qui ont été propagées par la communauté épistémique du marché libre, et est donc un choix prévu pour les pays qui prévoient pour libéraliser. Considérant que Hong Kong a eu un impôt proportionnel sur le revenu pendant plus de 50 années, et le Jersey et les Guernsey8 sont d'autres exemples d'un laisser-faire colonial, l'Estonie est devenue la première nation souveraine pour adopter un impôt unique en 1994 plaçant un taux de 26%, et a été bientôt suivi (dans une année) de la Lettonie (25%) et de la Lituanie (33%). Ces pays baltiques ont bien répondu au nouvel arrangement d'imposition, ce qui a mené une apparition générale en tant qu'économies concurrentielles. La Russie a adopté un impôt 13% unique en 2001, et le grand effet que ceci a eu sur l'évasion fiscale, créer augmentations remarquables de l'impôt revenue10, a préparé le terrain pour un flux de d'autres en 2003 : la Serbie (14%), la Slovaquie (19%), l'Ukraine (13%), suivi de la Géorgie et de la Roumanie en 2005. D'autres anciens pays soviétiques tels que la République Tchèque, La Croatie, La Hongrie, et la Slovénie ont des propositions fiscales unique, de même que les économies classées semblables telles que la Grèce, L'Irlande et la Malte. Remarquablement, l'impôt unique est également sur le radar de plus grandes nations telles que l'Allemagne, les USA et le R-U.

3. Le cas de la Roumanie

« Les révolutions en Europe de l'Est et la dissolution de l'URSS, cependant, présentez une occasion magnifique - le rêve d'un théoricien - à la commande mieux pour l'effet indépendant des différentes variables » « Checkel 1993:297 »

Les anciennes nations soviétiques offrent un laboratoire fertile pour l'étude à cause de l'absence prolongée et imposée des idées économiques disponibles aux universitaires, personnes définissant la politique, médias et le grand public. En effet la Roumanie fournit une situation particulièrement favorisant depuis (à l'exception possible de l'Albanie), les idées du marché libre étaient plus proscrites que n'importe quelle autre nation communiste. Ceci a signifié qu'avant la révolution il n'y avait pas une communauté épistémique domestique et l'année 1989 fournit un événement clair après quoi les idées du marché pouvaient couler. Dans d'autres pays, il y a un immense disque historique des idées économiques qui produit des fils multiples, traditions et sources. Le charger de distinguer différentes influences et de tracer le réseau résultant accablerait prohibitive ment. Mais en Roumanie, bien que la communauté épistémique puisse être grande, il est assez petit pour explorer et tracer les chaînes causales de la diffusion. Les personnes les plus responsables de la diffusion des idées sont encore vivantes mais assez de temps a passé pour que les effets à connaître et les évaluations expérimentales soient faites.

Une étude de cas est la plus valable quand les « phénomènes à l'étude n'est pas facilement distinguable du contexte » (Yin 1994), ou est une situation particulièrement unique et extrême. Puisque notre but est de dresser une carte un jet de politique, plutôt que simplement exemples de document des résultats, nous avons besoin d'une méthode qui produit des liens opérationnels et des fréquences non seules. Tandis qu'une étude historique peut expliquer les faits derrière un événement, une étude de cas basée sur l'observation directe, les conversations sans cérémonie et interviewer systématique est mieux à même de produire de la théorie. C'est donc l'outil méthodologique consommé pour étudier l'exécution de l'impôt unique en Roumanie.

L'étude de cas a été conduite sur une période de cinq semaines pendant les mois d'été de 2005. Plus de 30 entrevues formelles a eu lieu avec des représentants de milieu universitaire, le gouvernement, et la pression, et les transcriptions anonymes sont disponibles sur demande. Puisque l'intention était de tracer la communauté épistémique, nous n'avons pas exigé d'un échantillon aléatoire pour trouver des interviewés - nous avons utilisé le réseau interpersonnel par l'intermédiaire des recommandations. Depuis Anthony Evans et Gavin Ekins entrevues conduites conjointement (et information utilisée pour différents projets de recherche), il y avait la triangulation d'investigateur qui a assuré des perspicacités n'ont pas été prises hors du contexte, et ont été soumis aux explications de concurrence. En outre, conversation sans cérémonie ; observation directe ; et documentation, archives et objets façonnés physiques où consultant pour corroborer des données d'entrevue.