Le Fleau du Tabac - Pollution et Sante

L’introduction

On sait que le tabac est un fléau social ; c’est qu’on veut montrer par les informations du projet. Par ce projet on a essayé de mettre en évidence les effets du tabac sur la santé tant des fumeurs que des non-fumeurs. Il contient quatre chapitres et aussi des conclusions, chaque chapitre étant important par le message qu’il transmit.

Dans le première chapitre, « L’histoire du tabac » on trouve que le tabac a été découvert de plus de 3000 ans. Le développement du tabac a osciller. En Espagne, par exemple, il a été considéré comme un produit de luxe, puis dans le 17ème siècle, en Grande-Bretagne, il e été interdit la culture du tabac. Le pape Benoît XIII autorise, dans le ç siècle à priser dans la cathédrale Saint-Pierre. Dans le 19ème un machine capable de fabriquer 120000 cigarettes par jours à été inventé. Dans ce fundal, le tabac a été interdit dans le 20ème siècle. Des avertissements sanitaires ont aparu, en le même temps le loi Veil, tout ça pour reduire la consomation

Tout ça parce que

I. L’histoire du tabac.

On fume du tabac depuis plus de 3000 ans ! Certes, Christophe Colomb ne le découvrit qu’en 1492 mais d’anciens temples d’Amérique centrale en portent la trace dès 1000 ans avant JC. Dès son arrivée en Europe à la fin du 15ème siècle, le tabac suscita la controverse en générant des revenus substantiels par le biais des taxes. « Vile coutume », « festin démoniaque » pour certains, « herbe divine », « corne d’abondance de tous les plaisirs terrestres » pour les autres, le tabac a connu le désaveu des rois, les caprices des modes, les études médicales, la contrebande, les conflits commerciaux et les interdits.

Dans cette section, nous vous offrons un bref aperçu de la longue et fascinante histoire de ce produit qui jouit d’une indéniable longévité, encore fumé par près d’un milliard de consommateurs adultes dans le monde aujourd’hui.

1. De l’origine à Christophe Colomb.

En Amérique centrale, on trouve dans les temples anciens datant de 1000 ans avant JC, des sculptures représentant des prêtres Mayas fumant la pipe. Le tabac était utilisé en médecine pour soigner les blessures et soulager la douleur. Plus tard, les Aztèques intègrent l’inhalation de la fumée dans leurs rites religieux. Deux castes de fumeurs apparaissent : les fumeurs de pipe de la cour de Montezuma, et le commun des mortels qui roule les feuilles pour en faire de grossiers cigares.

En 470 après JC, les tribus Mayas commencent à se disperser, et le tabac voyage avec elles. Il s’étend vers l’Amérique du Sud où on le fume roulé dans des feuilles de maïs ou de palmier, et vers le Nord dans la région du Mississippi, où les indigènes fabriquent des pipes en argile, en marbre ou avec des pinces de crabes, voire à deux tiges, pour inhaler directement par le nez. Il est également courant que le tabac soit mâché, surtout en Amérique du Sud, où il est mélangé à du citron vert.

Lorsque Christophe Colomb débarque aux Bahamas en 1492, sur une île qu’il baptise San Salvador, les tribus Arawak offrent des feuilles de tabac séchées à l’explorateur. Ne comprenant pas leur usage, il les jette. Un mois plus tard, ses fidèles lieutenants Rodrigo de Jerez et Luis Torres - revenant d’une expédition à l’intérieur de Cuba - tombent sur des villageois en train de faire brûler des feuilles de tabac séchées, et d’inhaler la fumée à l’aide d’un bâton creux taillé en Y, appelé tobago ou tobaca.

Jerez est sans doute le premier non Américain à avoir fumé. Lorsqu’il revient dans sa ville natale d’Ayamonte, au temps de l’Inquisition, les saints inquisiteurs l’accusent de pactiser avec le diable en voyant de la fumée sortir de sa bouche et l’emprisonnent pour 7 ans. A sa sortie, fumer est devenu une pratique courante.

2. Le 16ème siècle

Au début du 16ème siècle, l’explorateur Juan de Grijalva débarque au Yucatan, et voit des indigènes fumer des feuilles de tabac. A Mexico, le conquistador Cortez rencontre des Aztèques fumant un tabac très aromatisé. Fernandez de Oviedo écrit dans son histoire des Antilles : «Entre autres mauvaises habitudes, les Indiens inhalent une certaine fumée qu’ils appellent tabac. Je ne comprends pas quel plaisir ils y trouvent».

En 1561, Jean Nicot, ambassadeur de France à Lisbonne, recommande à sa royale majesté Catherine de Médicis de priser du tabac pour soigner ses migraines. Priser provoque des éternuements libérateurs qui étonnent l’entourage de la reine, et devient vite une mode. En l’honneur de l’ambassadeur, on donna à la plante son nom botanique, Nicotiana.

Dans les années 1570, les conquistadors ramènent du tabac, considéré alors comme un produit de luxe, en Espagne. Quand les mendiants de Séville commencent à ramasser les bouts de cigares pour les hacher, les rouler dans des bouts de papier et les fumer, on appelle cela cigarillos (petit cigare). Philippe II, roi d’Espagne réfléchit dès lors aux vertus médicinales du tabac, non qu’il se préoccupe du bien-être de ses sujets, mais des avantages qu’il peut retirer du commerce de ce produit. Un célèbre médecin de l’Université de Séville, Nicolo Monardes, recommande le tabac pour soigner plus de 20 maux différents, y compris les rages de dent et l’asthme. Bien loin des recommandations actuelles.

A la même époque, Francis Drake revient d’Amérique en Grande-Bretagne, avec ce qui sera sans doute la première cargaison anglaise de tabac. En 1587, des colons de Virginie débarquent à Plymouth en fumant des pipes en argile.