Jean Louise Gueze de Balzac

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Jean-Louis Guez de Balzac, né à Angoulême le 31 mai 1597[1] et mort à Angoulême le 8 février 1654, est un écrivain français

Biographie

Guez de Balzac, surnommé « le restaurateur de la langue française », est un des écrivains français qui ont le plus contribué à réformer la langue française. Il était le fils du maire d’Angoulême, Jean-Louis Guez, qui fut anobli et prit le nom du fief de Balzac, au bord de la Charente, où il fit bâtir son château.

Après des études chez les jésuites, Guez de Balzac fit, en 1612, des études à l’université de Leyde où il fut le condisciple, et probablement l’amant, de Théophile de Viau avec qui il échangera par la suite d’amères récriminations. Il fut ensuite le secrétaire du duc d'Épernon à Metz. Après avoir passé deux ans à Rome de 1621 à 1623 comme agent du cardinal de La Valette, il vint à Paris où il s’était fait connaître par ses lettres, adressées à ses connaissances et aux personnages importants de la cour, lui firent une grande réputation. Richelieu le remarqua et lui fit donner la fonction d’historiographe et le brevet de conseiller du roi en ses conseils avec une pension de 2 000 livres.

Paru en 1624, le premier volume de ses Lettres lui valut d’emblée les plus grands éloges. Surnommé « le grand épistolier », il devint l’oracle de l’hôtel de Rambouillet, côtoyant entre autres, Chapelain, Malherbe ou Boisrobert. Néanmoins l’orgueil, vu comme un signe de libertinage caractérisant ses Lettres, fera bientôt l’objet d’attaques de la part du jésuite François Garasse[2]. L’année suivante, accusé d’avoir pillé les auteurs anciens et modernes, il est attaqué par Jean Goulu, supérieur de l’ordre des Feuillants, dans son pamphlet Lettres de Phyllarque à Ariste de 1627.

Son naturel vaniteux s’accommodant mal tant des attaques incessantes contre ses ouvrages que des polémiques de la vie littéraire parisienne, il se retira dans sa terre de Balzac où il put satisfaire son humeur sombre en se livrant presque entièrement à des exercices de piété qui le firent nommer l’« ermite de la Charente ». Ceci ne l’empêcha pas de continuer à correspondre activement avec ses amis parisiens et de rester l’arbitre du bon goût en matière de style.

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